Comment agir sur les territoires pour mieux nourrir ?
Découvrez "Le Petit guide du foncier nourricier" d'Un Plus Bio
Dernier opus édité par Un Plus Bio, « Le petit guide du foncier nourricier » s’attaque à la question de nos paysages alimentaires en éclairant une nouvelle dimension des politiques publiques locales. Quelles possibilités s’offrent aux collectivités locales pour reprendre en main une partie de leur destin agricole dans une optique de relocalisation alimentaire ? C’est toute la vocation de ce guide à la fois politique et pédagogique de 28 pages qui propose d’explorer ensemble de nouvelles pistes de réflexion et d’action sur tous les territoires.
Une accélération des enjeux alimentaires
Dans le contexte largement mondialisé des échanges alimentaires, de nouveaux enjeux grandissent qu’il n’est plus possible d’éluder : relocalisation, protection des ressources, adaptation au changement climatique, problématiques d’accès à la terre, etc.
La question est de savoir comment les collectivités locales peuvent s’investir sur des sujets aussi complexes sans se décourager devant l’ampleur du défi ?
La bonne nouvelle, c’est qu’il existe selon nous de belles marges de manœuvre pour faire bouger le foncier sur les territoires. Qu’elles disposent ou non de compétences officielles définies par la loi, à vrai dire peu importe. Ce « Petit guide du foncier nourricier » éclaire la façon dont les collectivités peuvent transformer leurs paysages alimentaires. L’idée est bien de vous amener, en tant qu’élu(e) ou technicien(ne) de collectivité, à développer votre pouvoir d’agir.
Trois grands leviers pour agir
Pour faire court, « Le Petit guide du foncier nourricier » décrit les trois principaux modèles qui commencent à faire leurs preuves quand il s’agit de mobiliser le foncier de sa collectivité pour relocaliser l’alimentation. Nous abordons d’abord la question des régies agricoles, en passant au crible les expériences réussies d’une grosse poignée de collectivités membres du Club des Territoires Un Plus Bio. Notre recul sur ce modèle vous donnera les clés pour mieux le comprendre.
Le livret présente ensuite une sélection d’outils que propose le droit rural. Bien que ces outils soient des grands classiques, leur usage au service d’un projet alimentaire révèlent de nouvelles vocations. Attendez-vous à (re)découvrir les notions actualisées de bail rural, fermage, métayage, convention de mise à disposition, commodat, etc.
Enfin « Le Petit guide du foncier nourricier » ouvre un nouvel horizon en s’attardant sur un modèle de gestion du foncier au caractère hybride, la SCIC (société coopérative d’intérêt collectif) où les collectivités s’associent avec d’autres acteurs qui souhaitent s’engager dans un projet économique et agricole commun.
Bienvenue dans le projet "Friches rebelles®"
Imaginé par Un Plus Bio et ses deux partenaires que sont la Safer Occitanie et le réseau Celt, le projet « Friches rebelles® » est une démarche qui questionne les moyens de donner une vocation nourricière au foncier et le rôle des collectivités qui cherchent à reconnecter leurs ressources agricoles à leurs besoins alimentaires. Pour trouver des réponses pertinentes, la recherche-action pilotée par Un Plus Bio expérimente des montages juridiques alliant différents outils.
Parce que les terres anciennement cultivées laissées à l’état de friches sont bien plus nombreuses qu’on l’imagine, il existe un moyen de créer des points de convergence entre propriétaires privés et la sphère publique pour remettre les paysages alimentaires en mouvement. Les friches rebelles sont un moyen efficace de relocaliser de manière pragmatique les approvisionnements alimentaires des territoires. On vous présente tout de la démarche globale.
Résumé
Comment agir sur les territoires pour mieux nourrir ?
Découvrez "Le Petit guide du foncier nourricier" d'Un Plus Bio
Dernier opus édité par Un Plus Bio, « Le petit guide du foncier nourricier » s’attaque à la question de nos paysages alimentaires en éclairant une nouvelle dimension des politiques publiques locales. Quelles possibilités s’offrent aux collectivités locales pour reprendre en main une partie de leur destin agricole dans une optique de relocalisation alimentaire ? C’est toute la vocation de ce guide à la fois politique et pédagogique de 28 pages qui propose d’explorer ensemble de nouvelles pistes de réflexion et d’action sur tous les territoires.
Une accélération des enjeux alimentaires
Dans le contexte largement mondialisé des échanges alimentaires, de nouveaux enjeux grandissent qu’il n’est plus possible d’éluder : relocalisation, protection des ressources, adaptation au changement climatique, problématiques d’accès à la terre, etc.
La question est de savoir comment les collectivités locales peuvent s’investir sur des sujets aussi complexes sans se décourager devant l’ampleur du défi ?
La bonne nouvelle, c’est qu’il existe selon nous de belles marges de manœuvre pour faire bouger le foncier sur les territoires. Qu’elles disposent ou non de compétences officielles définies par la loi, à vrai dire peu importe. Ce « Petit guide du foncier nourricier » éclaire la façon dont les collectivités peuvent transformer leurs paysages alimentaires. L’idée est bien de vous amener, en tant qu’élu(e) ou technicien(ne) de collectivité, à développer votre pouvoir d’agir.
Trois grands leviers pour agir
Pour faire court, « Le Petit guide du foncier nourricier » décrit les trois principaux modèles qui commencent à faire leurs preuves quand il s’agit de mobiliser le foncier de sa collectivité pour relocaliser l’alimentation. Nous abordons d’abord la question des régies agricoles, en passant au crible les expériences réussies d’une grosse poignée de collectivités membres du Club des Territoires Un Plus Bio. Notre recul sur ce modèle vous donnera les clés pour mieux le comprendre.
Le livret présente ensuite une sélection d’outils que propose le droit rural. Bien que ces outils soient des grands classiques, leur usage au service d’un projet alimentaire révèlent de nouvelles vocations. Attendez-vous à (re)découvrir les notions actualisées de bail rural, fermage, métayage, convention de mise à disposition, commodat, etc.
Enfin « Le Petit guide du foncier nourricier » ouvre un nouvel horizon en s’attardant sur un modèle de gestion du foncier au caractère hybride, la SCIC (société coopérative d’intérêt collectif) où les collectivités s’associent avec d’autres acteurs qui souhaitent s’engager dans un projet économique et agricole commun.
Bienvenue dans le projet "Friches rebelles®"
Imaginé par Un Plus Bio et ses deux partenaires que sont la Safer Occitanie et le réseau Celt, le projet « Friches rebelles® » est une démarche qui questionne les moyens de donner une vocation nourricière au foncier et le rôle des collectivités qui cherchent à reconnecter leurs ressources agricoles à leurs besoins alimentaires. Pour trouver des réponses pertinentes, la recherche-action pilotée par Un Plus Bio expérimente des montages juridiques alliant différents outils.
Parce que les terres anciennement cultivées laissées à l’état de friches sont bien plus nombreuses qu’on l’imagine, il existe un moyen de créer des points de convergence entre propriétaires privés et la sphère publique pour remettre les paysages alimentaires en mouvement. Les friches rebelles sont un moyen efficace de relocaliser de manière pragmatique les approvisionnements alimentaires des territoires. On vous présente tout de la démarche globale.